L'édito de Janvier 2020
Nous étions fragiles comme après une émotion ; nous serons flambants comme un soleil nouveau ! Nous vivrons dans un grand château avec des chevaux, nous aurons des yeux d’audace pleins d’azur et de cristal, des éclats de rires en traînée d’or dans le bruissement des draps où nos rêves se confondent.
Grimper aux arbres, filants comme des étoiles, gravir des sommets, des monts, des montagnes, courir, traverser des cascades, des galaxies intenses, des ruisseaux et des fleuves, vivre dans la splendeur des saisons qui changent. Enfin l’été, les champs de blé, le vin rouge et le fromage, l’aventure et le cabotinage. L’air, le grand air, la tranquille promenade le long de la mer.
Nous fabriquerons des légendes, des nœuds de rubans et des franges à nos vêtements, jouerons les grandes tragédies dans les joies des camaraderies. Nous irons à contre-courant dans le grand vent du siècle, traverserons l’histoire sans faire d’histoire. Nous partirons à l’aube dans la confusion des nuages, sur le dos d’un dromadaire nous ferons le tour de la terre. Nous irons dans un rayon avec nos yeux de fête célébrer le soleil, bégayant comme le poète, heureux comme l’amant.
L'édito de Janvier 2020
Nous étions fragiles comme après une émotion ; nous serons flambants comme un soleil nouveau ! Nous vivrons dans un grand château avec des chevaux, nous aurons des yeux d’audace pleins d’azur et de cristal, des éclats de rires en traînée d’or dans le bruissement des draps où nos rêves se confondent.
Grimper aux arbres, filants comme des étoiles, gravir des sommets, des monts, des montagnes, courir, traverser des cascades, des galaxies intenses, des ruisseaux et des fleuves, vivre dans la splendeur des saisons qui changent. Enfin l’été, les champs de blé, le vin rouge et le fromage, l’aventure et le cabotinage. L’air, le grand air, la tranquille promenade le long de la mer.
Nous fabriquerons des légendes, des nœuds de rubans et des franges à nos vêtements, jouerons les grandes tragédies dans les joies des camaraderies. Nous irons à contre-courant dans le grand vent du siècle, traverserons l’histoire sans faire d’histoire. Nous partirons à l’aube dans la confusion des nuages, sur le dos d’un dromadaire nous ferons le tour de la terre. Nous irons dans un rayon avec nos yeux de fête célébrer le soleil, bégayant comme le poète, heureux comme l’amant.