L'édito d'Octobre 2019
J’aurais bien aimé faire un spectacle sur un toréador dans son costume de matador et le passage furtif d’un personnage arborant une coiffe indienne en plein milieu de la corrida. En ce qui concerne la coiffe indienne, j’ai une préférence pour celle du chef de la tribu parce qu’elles sont généralement plus imposantes, notamment dans le choix des couleurs. Pour la scénographie justement j’ai imaginé construire une montagne d’environ 10 m de long sur 8 m de hauteur, une sorte d’arène à l’envers. Pour la couleur de la montagne cela reste à définir avec la scénographe du projet.
Ce spectacle pourrait se jouer en extérieur, notamment sur un terrain de football, parce que j’ai toujours été fasciné par la couleur de l’herbe des terrains de sport et par les tribunes des supporters qui pourraient justement rappeler celles de l’arène… Ou dans un gymnase. Je dois admettre que j’hésite encore entre l’extérieur et l‘intérieur, le théâtre de salle et le théâtre de rue… C’est-à-dire que je ne voudrais pas me fermer des portes maladroitement.
J’aurais bien aimé travailler avec deux acteurs franco-suisse une scène dans laquelle je ferai se rencontrer au sommet de la montagne un abricot géant et un ballon, puis j’inventerai un système de tyrolienne qui partirait de cour et irait jusqu’à jardin pour représenter le plus vraisemblablement possible un tire-fesse comme on en voit dans les stations de ski, et faire descendre en même temps, en ski, en surf, en luge et en mono ski, le torero, l’indien, l’abricot et le ballon sur une musique classique telle que les 4 saisons de Vivaldi ou Ameno du groupe Era.
Comme on peut le comprendre sans effort, ce spectacle ne parlerait strictement de rien.
L'édito d'Octobre 2019
J’aurais bien aimé faire un spectacle sur un toréador dans son costume de matador et le passage furtif d’un personnage arborant une coiffe indienne en plein milieu de la corrida. En ce qui concerne la coiffe indienne, j’ai une préférence pour celle du chef de la tribu parce qu’elles sont généralement plus imposantes, notamment dans le choix des couleurs. Pour la scénographie justement j’ai imaginé construire une montagne d’environ 10 m de long sur 8 m de hauteur, une sorte d’arène à l’envers. Pour la couleur de la montagne cela reste à définir avec la scénographe du projet.
Ce spectacle pourrait se jouer en extérieur, notamment sur un terrain de football, parce que j’ai toujours été fasciné par la couleur de l’herbe des terrains de sport et par les tribunes des supporters qui pourraient justement rappeler celles de l’arène… Ou dans un gymnase. Je dois admettre que j’hésite encore entre l’extérieur et l‘intérieur, le théâtre de salle et le théâtre de rue… C’est-à-dire que je ne voudrais pas me fermer des portes maladroitement.
J’aurais bien aimé travailler avec deux acteurs franco-suisse une scène dans laquelle je ferai se rencontrer au sommet de la montagne un abricot géant et un ballon, puis j’inventerai un système de tyrolienne qui partirait de cour et irait jusqu’à jardin pour représenter le plus vraisemblablement possible un tire-fesse comme on en voit dans les stations de ski, et faire descendre en même temps, en ski, en surf, en luge et en mono ski, le torero, l’indien, l’abricot et le ballon sur une musique classique telle que les 4 saisons de Vivaldi ou Ameno du groupe Era.
Comme on peut le comprendre sans effort, ce spectacle ne parlerait strictement de rien.