L'édito de Septembre 2018
Ah ! Quitter la paresse des jours d’été, le bruit des pieds nus dans l’eau, l’odeur du thym à l’ombre d’un arbre, avoir pour grand projet d’écrire une carte postale et pour seule contrainte la popote du soir… Un souffle de liberté ouvert aux quatre vents ! Mais à bien y réfléchir qu’est-ce qui nous empêcherait de poursuivre cet état de passivité et de disponibilité totale ? Le travail ? Soit. Alors il faut avoir le courage de ne pas travailler. Ou de travailler autrement.
Ps : Et si vous avez aimé ce texte sachez qu’il n’est pas de moi, quelques phrases empruntées dans La Collectionneuse de Rohmer devrait vous donner envie de découvrir ce chef d’œuvre de la nouvelle vague tout à fait à propos.
L'édito de Septembre 2018
Ah ! Quitter la paresse des jours d’été, le bruit des pieds nus dans l’eau, l’odeur du thym à l’ombre d’un arbre, avoir pour grand projet d’écrire une carte postale et pour seule contrainte la popote du soir… Un souffle de liberté ouvert aux quatre vents ! Mais à bien y réfléchir qu’est-ce qui nous empêcherait de poursuivre cet état de passivité et de disponibilité totale ? Le travail ? Soit. Alors il faut avoir le courage de ne pas travailler. Ou de travailler autrement.
Ps : Et si vous avez aimé ce texte sachez qu’il n’est pas de moi, quelques phrases empruntées dans La Collectionneuse de Rohmer devrait vous donner envie de découvrir ce chef d’œuvre de la nouvelle vague tout à fait à propos.